Le grand blureve : les transitions

Les zones limbaires

Il arrive au cours de déplacements dans le blurêve, que les individus se trouvent parfois confrontés à un phénomène particulier: les zones limbaires. Le blurêve ayant en essence quelque chose des limbes, il arrive qu'il communique directement avec ces dernières. Le voyageur se trouve complètement désorienté à l'approche de ces zones. Les phosphènes bleutés disparaissent progressivement, comme pour une sortie de blurêve dans un fond de grotte. Les deux seules différences sont alors : une abscence totale d'odeur, d'"atmosphère", de courants d'airs, etc... et le traditionnel "froid au rêve" lié à la présence des limbes. Quiconque s'avance imprudemment malgré ces symptômes se voit disparaître à jamais, sans espoir de réincarnation.

On peut noter qu'il n'y a pas, comme dans "l'auberge des derniers voyageurs", de courant de rêves, car tout se fait progressivement. Il y a même, disent certains sages, une zone ou le rêve et les limbes cohabitent, se mêlent. D'autres préfèrent dire que ces zones sont très faiblement rêvées.

En termes de jeu, lorsque les voyageurs se perdent en blurêve, ils font un jet de chance à 0.

Evidemment, on a des chances de ne pas y tomber dedans :

Jet d'empathie ou de rêve, difficulté 0, sans les draconics pour le rêve.

Si on fait demi-tour à temps, on retrouve son chemin.

Conclusion

Trois échecs totaux sont nécessaires pour tomber dans les limbes. Mais le personnage qui y tombe est irrécupérable.

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